Lancement officiel de mon premier livre – 31 mai 2015
Un premier livre se devait d’être célébré correctement. J’ai d’abord connu mon premier salon du livre (voir autre article), puis, ce fut le lancement qui à mes yeux allait marquer le début d’un nouvel épisode de ma vie.
Je ne sais pas où mènera l’aventure, chose certaine, c’est que j’ai encore de nombreux projets qui ne demandent qu’à voir le jour.
Château Vaudreuil le 31 mai 2015
Un lancement, c’est comme un baptême. C’est porteur de promesses et d’avenir. C’est la naissance d’un projet auquel on doit prêter tout notre souffle, sinon, il risque de ne pas prendre son envol.
Ici, c’est ma cousine Marie-Claude. Je l’aime pour sa joie de vivre, sa résilience, sa capacité à retomber sur ses pattes, à réinventer la joie avec ses mille projets et son fou-rire contagieux même dans la tourmente.
Ici c’est mon mari René avec mon ami Wajih. Mon mari c’est celui qui me défie de me dépasser et qui m’appuie dans mes projets.
Avec Wajih, je pense que c’est parce qu’on se trouve drôle. On s’est connu par le biais du travail, il n’y a pas eu de filtre entre nous. On s’est toujours dit ce qu’il fallait dire, et le reste, on l’a rigolé.
Ici, c’est mon amie Lucie. Notre première rencontre: son tout premier cours de spinning au centre sportif de Vaudreuil-Dorion, centre dont elle a bravement porté l’édification. Lucie fourmille d’idées et d’enthousiasme, c’est une source d’énergie contagieuse.
Toutes les cousines étions, sans exception, amoureuses de notre oncle André. C’était le rassembleur, le plus cool, certainement celui qui m’a attaché à cette famille que j’ai cru avoir perdu pendant plus de 25 ans. Avec sa femme, Louise, vigie lumineuse qui veille sur ses jours de noirceur: André a perdu beaucoup de capacité visuelle. C’était mon lecteur. Encore merci à tous deux de m’avoir fait cadeau de votre présence.
« Pour toi Jacques… », c’est une lettre à un enfant à naître. Il est né et s’appelle Nicolas. On le voit ici en compagnie de son père, Dominique Lemieux qui a réalisé le dessin de la couverture de mon livre. Rien n’était calculé, les choses se sont mises en place au bon moment. Je nous souhaite à tous encore beaucoup de ces moments où l’imaginaire nous unit.
Je me demande bien ce que Tibou vient faire sur la photo…
Annie, la maman, l’inspiration. Annie c’est la joie dans l’organisation, la créativité tandis que tous veillent aux tâches nécessaires. Elle enseigne, et je suis convaincue que des centaines de jeunes ont soupiré d’amour et d’admiration pour elle.
Du côté des cousines, une autre belle surprise m’attendait : Denyse. Elle a veillé pendant toutes ces années à ce que nous nous rencontrions au moins une fois par année. Chaque fois, c’était magique, je revenais de ces rencontres gonflée à bloc. Sur un peu plus de vingt ans, on a manqué un seul rendez-vous: celui de nos 50 ans. D’aussi loin que je me souvienne, il y a eu Denyse. Ensemble, on a ri, on a pleuré, on a eu peur des morts et on a pris le temps de se mirer dans le regard de l’autre pour se convaincre qu’on allait dans la bonne direction.
C’est notre toute première photo ensemble. Nous sommes amies depuis 1980. Kathleen aussi s’est assurée au fil du temps que je me souvienne de notre amitié. J’ai cette fâcheuse manie de m’enthousiasmer pour les nouveaux trucs, partir et oublier tout le reste. Heureusement qu’il y a dans ma vie des veilleurs pour me montrer la direction à suivre.
Ici c’est mon frère qui ne remet jamais en question mes idées, mes projets, qui finit toujours par trouver du sens à mes réflexions les plus saugrenues, même quand je n’y arrive pas moi-même.
Ici c’est ma belle-soeur Marie qui a fait en sorte que j’ai pu vivre ma journée sans me soucier des tracasseries administratives.
Merci à tous ceux qui m’encouragent dans mes délires, et qui m’offrent support, joie, et amour.
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