Carte postale de Dublin – 2011
Si vous cherchez quelle sera la température à Baile Atha Cliath, vous serez renseigné sur les prévisions météo de Dublin, puisque c’est le nom gaélique de la capitale de la république d’Irlande, mère de James Joyce, William Buttler Yeats et combien d ‘autres…
C’était l’époque des Indignés. Toutes les grandes villes avaient leurs manifestants-campeurs, il y en avait aussi à Dublin.
René a été charmé par la superbe représentation d’une Molly Malone bien en chair.
Splendide Dublin, automne 2011.
1ère tentative de conquête du « Temple Bar« … parce qu’on s’est essayé souvent.
Dans un bar nous avons découvert des toilettes éclairées par des « black lights » révèlent des mystères…
Dublin est une belle ville touristique …
Dublin est aussi la ville où vit la brasserie Guinness. En 1759, Arthur Guinness quitta la brasserie familiale dans le compté de Kildare pour chercher des opportunités à Dublin avec seulement €100 dans ses poches ($140). Il signa un bail de 9,000 ans au cœur de Dublin où il établit sa brasserie. Prolifique, Arthur a eu 21 enfants
Je vous épargne l’histoire fascinante que fut l’établissement de cet imposant site de fabrication mais aussi le déploiement de la bière à travers le monde à une époque où les transports n’étaient pas aussi faciles que maintenant.
Nous avons gaiement joué aux goûteurs chez Guinness… toujours en demande…
La visite de la brasserie se termine tout en haut… avec une « pint » au « Gravity bar »
Le musée fait revivre les pubs classiques comme dans l’annonce « Guinness donne la force »
Notre voyage consistait en une visite de Dublin couplé de trek dans les montagnes de Wiclkow d’où provient l’eau qui sert à la fabrication de la Guinness
Jour 1 en direction d’Enniskerry – pleuvra-t-il?
Le sentier s’ouvre sur un arbre à souhaits.
Nous croisons des moutons.
À la fin de la première journée .. nous croyions avoir encore à marcher 1 km, nous étions crevés, trempés, nous avions froid… mais nous habitions sans le savoir la porte voisine du pub.
2ème jour en direction de Roundwood.
On voit ici le début d’une longue et venteuse marche. Au moins 1 kilomètre de grands vents qui nous projetaient hors du trottoir. Demeurer sur le trottoir fut toute un défi. ( un pied sur le bois, le prochain sur la touffe, puis on se baisse pour reprendre notre équilibre … Suzel, tu avais une autre comptine..)
À la fin de la journée, comme nous entrons dans un pub, une dame, Nancy, s’arrête et nous demande si nous ne sommes pas ses visiteurs. Ce voyage fut plein de petits miracles. Elle nous demande à quelle moment elle pourrait nous prendre, et son mari est venu nous chercher à 7h30 pile.
3ème jour de marche en direction de Laragh/Glendalough.
Glendalough abrite les vestiges d’un village minier datant des années 1850. La prospection du minerais de fer dans la vallée de Glendalough dura seulement une vingtaine d’années.
De retour à Dublin
La prison de Kilmainham où Robert Hemmet, Charles Stewart Pannell et Eamon De Valera furent emprisonnés. La prison ferma en 1924.
Temple bar: une autre « pint » ….
La majestueuse cathédrale de St-Patrick construite en 1191, détruite par le feu et la tempête, a été reconstruite au 14ème siècle. La famille Guinness lui a payé une restauration importante au 19ème siècle.
La distillerie Jamieson a connu et connait encore des difficultés d’approvisionnement en grain, à cause d’un autre producteur d’alcool local…
De manière amusante, René et moi avons différentes raisons de nous sentir bien en Irlande.
Pour René, c’est la fierté de voir un pays s’imposer aux yeux du monde, ce que le Québec semble incapable de faire.
Pour moi, c’est un pays peuplé de gens qui nous ressemblent, sans que je n’y voie des raisons politiques. Bien que nous nous sentions attirés par l’Irlande pour différentes raisons, c’est toujours un immense plaisir d’y revenir.